Rétablissons quelques vérités !

lundi 16 octobre 2006
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OUI, des dysfonctionnements existent dans ce bureau mais NON, ils ne sont pas la résultante exclusive du seul V8.
OUI, les agents de la partie « centre qui distribuent les recommandés sont les premières victimes de l’organisation du bureau.
OUI, un déficit de solidarité peut se faire sentir sur certains quartiers où l’entraide n’existe pas.

Mais posons nous les bonnes questions, pourquoi en est on arrivé là  ?

Force est de constater que depuis des années un certain type de syndicalisme règne sur ce bureau, et pour quels résultats ? Un mélange évident de politique et de syndicalisme a eu pour effet de troubler les relations avec les directions successives.

Qui fait quoi ? Au nom de qui ? la double étiquette ne sert personne, bien au contraire, elle dessert tous les salariés au profit d’un groupuscule jusqu’au-boutiste, toujours enclin à la dénonciation, au refus de négocierà¢â‚¬Â¦. Mais pour quel bilan ?

Le temps est venu de retrouver le sens des réalités et de fuir la démagogie. Les idées, les propositions sont les bienvenues de toutes parts. Mais de grâce, restons cantonner au syndicalisme !

La CFDT partage certaines des propositions faites par Mr Marrachini lors de l’audience CGT, des consensus peuvent se dégager. Mais avec quelle CGT dialoguer sur Paris 20 PDC ?

La CFDT a fait des propositions concrètes à la direction pour alléger le travail des facteurs du centre. Des pistes ont été évoquées :
Anticiper la prise des recommandés à la cabine et veiller à ce que l’entraide sur certains quartiers ne soit pas qu’un và…“u pieux mais bien une réalité. Procéder à des accompagnements, maintenir le niveau du volant de remplacementà¢â‚¬Â¦.Ces pistes peuvent être enrichis pas de multiples propositions, qui sont toutes les bienvenues !

Mais, de grâce, halte à la démagogie, aux querelles stériles, aux propositions qui parlent de réaménagement, redécoupage ! ce scénario là , à coup sà »r anticiperait « facteur d’avenir » sur Paris 20 et en surprendrai plus d’un, notamment les agents des parties « Aide » et « Case » . Un blanc seing donné à la direction ! Alors, gare aux apprentis sorciers.
L’action syndicale doit se faire au seul profit des salariés dans un souci d’écoute ! Nul guide, ne serait se substituer aux agents ! l’indépendance, l’esprit critique sont seuls à même d’enrichir le débat, le dialogue et de trouver des solutions.


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