Face aux moustiques : La Poste doit investir !

vendredi 27 avril 2012
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Si les températures sont loin d’être caniculaires, il est cependant grand temps de s’inquiéter de la problématique « moustiques ». En effet, vous avez pu assister en direct l’an dernier au bras de fer que la CFDT aura du faire avec la municipalité de Gonesse pour que celle-ci daigne traiter le bassin de rétention d’eau qui jouxte la PIC. Tracts, courriers au maire, et même articles dans la presse. Ces actions n’avaient d’ailleurs à l’époque pas toujours été bien comprises par La Poste, tant locale que DOTC.

Cette année, nous voulons anticiper pour que tout ce petit monde ait le temps nécessaire pour agir. Nous n’accepterons pas qu’une nouvelle fois nous soyons victimes de ces bestioles. Rappelons que l’été dernier, certains d’entre nous ont été piquées 30 fois dans leurs vacations. Rappelons également qu’une de nos collègues avait été évacuée à l’hà´pital de Gonesse suite à une allergie aux piqà »res.

Nous avons donc adressé un courrier au président et au secrétaire du CHSCT afin que ce sujet soit rapidement mis à l’ordre du jour du prochain CHSCT.

De même, une entreprise spécialisée dans des matériels « anti-moustiques » avait contacté en 2011 les différents acteurs (Poste, municipalité). Personne pourtant ne lui avait répondu. Or, leur type de matériel permettait d’éliminer les insectes volants particulièrement les moustiques d’une manière efficace et écologique.

Cette année, la CFDT a pris les devants et a recontacté l’entreprise en question. Nous avons même été plus loin et avons demandé que celle-ci adresse un devis à La Direction locale à partir de données et photos de quai que nous lui avons fourni. Selon ses dires, il n’y aurait pas obligation d’équiper toutes les portes de quai. Seules 7 lanternes permettraient de freiner, voire de détruire les satanées bestioles. Et tout cela pour la modique somme de 2 795,41 à¢â€šÂ¬ TTC.

En conclusion : Vous le savez, nous ne laisserons pas tomber. Une plénière est prévue le 26 avril et nous comptons bien aborder le sujet, en attendant d’en débattre pleinement en CHSCT. Il faudra qu’à terme nous puissions enfin dire que l’on a éradiqué le phénomène.
Car travailler dans de bonnes conditions est pour nous une prioritéà¢â‚¬Â¦