Commission de suivi réorg 2011

vendredi 25 mars 2011
par  Philippe Giraudeau
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Trois semaines après la mise en place de la réorganisation, les quatre syndicats locaux ont rencontré la direction locale pour effectuer un 1er bilan. Si les difficultés actuelles ont été franchement abordées, les réponses de la direction se veulent pour l’instant très prudentes.

Faut dire que les flux du courrier donnent des vertiges à force de monter et de descendre de manière incompréhensibleà¢â‚¬Â¦ Une seule chose est sà »re : jusqu’à 150 000 objets, globalement ça passe à peu près, mais faut pas chà´mer pour finir à 13 heures ! Au-delà , c’est la cata comme cela s’est produit la première semaine de mars et qui a fait craindre le pire.

Quelques avancéesà¢â‚¬Â¦

Un nouveau chronogramme, un départ unique à 9 h 30, l’affichage du TMJ, l’harmonisation des pratiques (traitement des FD, casier de tri du FE, affichage des réex), les accompagnements des quartiers en difficulté sans oublier le nouveau dimensionnement de la brigade LR qui passe à six agents : c’est pas rien et ce n’est qu’un début !

Mais surtout cela est possible parce que les syndicats sont représentatifs, présents et font le boulot : ils passent parmi vous, recueillent et croisent les informations. Et lors de la réunion, ils exposent vos difficultés, préconisent des solutions, revendiquent des améliorations, veillent au respect de vos droits (impact en terme RH du nouveau cycle de travail, par exemple).

Ainsi les deux RC pour tout le personnel : s’ils sont le fruit d’une décision directoriale c’est bien aussi parce que les syndicats l’ont demandé (initialement la direction avait une vision plutà´t limitée de ces RC).

à¢â‚¬Â¦ Qui en appellent d’autres !

Les demandes de dépà´ts relais supplémentaires, de modification de parcours, de PDI pour soulager le tri doivent rapidement aboutir. La direction en est consciente. Elle fait le nécessaire mais se heurte parfois à des résistances inattendues, des inerties importantes notamment du coté de la PIC !

Une réflexion doit s’engager autour de l’ergonomie des casiers de tri, les problèmes de lumière et de place notamment sur le secteur 1, la place du FE au cà…“ur du groupe pour limiter les déplacements.
Autre (gros) problème : le raccordement postal qui bouffe la vie du secteur 4 ! La direction le sait qui envisage un plan spécifique pour 2011. La CFDT apprécie cette initiative. Mais nous le disons clairement : une prise en charge limitée aux facteurs qualité est vouée à l’échec !

Le raccordement postal exige une action continue et durable dans le temps, une forte volonté et l’application stricte mais nécessaire des règles. Et donc des moyens humains supplémentaires à la hauteur des enjeux et des besoins qui sont énormes !


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