L’habillement sous toutes les coutures !

mercredi 10 mars 2010
popularité : 12%

Cette commission de la DRL se réunissait pour la quatrième année consécutive avec cette année, pour la première fois, la participation d’un seul représentant RH des 6 établissements d’Ile de France rattachés à la DRL. L’habillement ne fait plus recette !

Comme chaque année, furent passés en revue la politique d’habillement 2010, les dépenses 2009, la présentation des tenues par poste de travail, la détermination des tenues en dotation initiale et en renouvellement.

Nous avons appris qu’à l’issue d’un appel d’offres européen, La Poste a renouvelé sa confiance à Armor-Lux et lui a confié pour les 5 ans à venir l’habillement de ses 140 000 postiers. Ce contrat porte sur les mêmes prestations qu’en 2005 : réalisation du catalogue, gestion des commandes, expédition aux agents et aux établissements, service client par courrier, mail ou numéro vert.

– Nouveauté 2010 : afin de garantir le pouvoir d’achat des postiers, l’allocation et le prix des articles figurent en points et non plus en à¢â€šÂ¬, 1 à¢â€šÂ¬ vaut 100 points. Quelle différence ! On nous vante les différences entres cotons biologique et équitable. On nous rappelle aussi que les postiers peuvent s’habiller « en solde », les vêtements avec l’ancien logo ne valent plus 20 % de réduction, mais 40 %. Liquidons les stocks !

– Un tour d’horizon d’une trentaine d’entités de la DRL sur les dépenses 2009 : on apprend que sur 2258 personnels « habillables » 770 n’ont pas commandé. Les dépenses pour la DRL s’élèvent à 92250 à¢â€šÂ¬. Le pourcentage de commandes’échelonne entre 41 % et 70 %.

Une meilleure communication reste à faire sur les campagnes d’habillement principalement sur les délais limites de commandes à respecter. Il n’est pas normal que seul 66 % des personnels commandent ! Les années se suivent et se ressemblent mais comme les prix n’augmenteront pas en 2010, même pas une négociation pour une réévaluation des tenues vestimentaires. Pas grand-chose à se mettre dans les poches ! A l’année prochaine !


Documents joints

Tract complet en PDF